Ces murs qui deviennent intelligents

Les clients de Clestra savent que le changement fait partie de leur stratégie. Ces changements imposent des déplacements répétés des espaces de travail. La façon dont les bureaux sont agencés en dit long sur la stratégie de l’entreprise par rapport à ses salariés. Le choix d’un bureau cloisonné par rapport à un vaste open space est une décision stratégique, et pas seulement économique. En effet, la présence d’une cloison occupe 5 à 10% de l’espace utile. Mais le recours à des cloisons amovibles est un investissement permettant à la fois d’améliorer les conditions de travail mais aussi d’améliorer la productivité des collaborateurs. « Une entreprise tertiaire ne peut pas vivre sans avoir des lieux de silence et de rencontre », nous explique Vincent Paul-Petit. Cette possibilité d’espace fermé permet de satisfaire le légitime besoin de « privacy », assurant aussi un rôle de « frontière », seule en mesure de créer le groupe et le sentiment d’appartenance. Si, en Europe, la cloison amovible s’est imposée depuis plusieurs années, 85% des murs sont encore en dur aux États- Unis. C’est évidemment un potentiel de croissance pour Clestra et ses concurrents ! Dans ce marché de la cloison amovible, Clestra Hauserman va encore plus loin dans l’anticipation des besoins du client. Déplacer les murs autant que de besoin, c’est un atout pour les entreprises. Mais modifier tous les espaces des salariés sans immobiliser les bureaux dans les gravats ou la poussière, c’est encore mieux ! Les panneaux de Clestra Hauserman sont « monobloc », c’est-à-dire qu’ils sont déplacés sans être démontés. Là où certaines conceptions concurrentes imposent un démontage dans les bureaux occupés, avec l’inconvénient de la poussière et des dégradations, les cloisons en acier monobloc se déplacent à volonté, sans nuisance. Au ministère des Finances à Bercy, depuis 35 ans, les cloisons Clestra bougent au gré des changements de configuration des bureaux. Toujours les mêmes cloisons Clestra, mais agencées autrement !

Être bien dans ses murs

Les murs s’adaptent et aident à s’adapter ! L’une des attentes importantes des entreprises reste la possibilité d’adapter un espace propre à des usages différents. Si les salles de réunions étaient prévues pour vingt personnes il y dix ans, il est plus utile aujourd’hui d’avoir des espaces plus petits mais en nombre important. Dans ce cas, il suffit de déplacer la cloison. Le besoin de calme est un facteur de bien être du salarié et la demande d’espaces « quiet rooms » devient une vraie tendance de fond des entreprises. La modularité des espaces peut devenir un atout pour certains secteurs, comme dans le domaine de l’éducation. Vincent Paul-Petit nous explique le cas de l’université IMAM, à Riyadh en Arabie Saoudite, où les salles de cours s’adaptent au nombre d’étudiants inscrits sur un cursus annuel. Dans cette université, ce sont 35 personnes qui gèrent, installent et démontent les stocks importants de cloisons amovibles sur place, à la demande. Le renouvellement de l’air est également un facteur important dans les bureaux. Les panneaux à transfert d’air sont spécialement conçus pour permettre le flux d’air à travers la cloison, sans pénaliser le confort acoustique. Enfin, le mieux vivre dans l’entreprise se doit d’intégrer la communication connectée. Le mur devient un outil de travail mais surtout une source de sensations ! Il peut être sonorisé, intégrer un écran, être un support d’écriture…