LA STAR C’EST VOUS Arkaene SAS : quand l’informatique épouse l’art

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Didier Belletich, coprésident d’Arkaene SAS.
Née en janvier 2014 d’un regroupement d’activités, Arkaene SAS a donné une entité juridique au travail de Didier Belletich et de Caroline Roque. Lui, architecte technique propose des missions aux entreprises quand elle s’occupe de produire des artistes. Ensemble ils rêvent d’une chose : faire fortune dans leur nouvelle entreprise.

 

 

« Depuis que l’entreprise a été créée, mes impôts ont diminué de moitié ». Didier Belletich, 49 ans est coprésident d’Arkaene SAS, société dont le siège est à Soisy sur Seine et à laquelle il a donné naissance avec sa compagne Caroline Roque en janvier dernier. Architecte technique depuis près de vingt ans, son travail consiste en la gestion de la structure générale inhérente à un système informatique, l’organisation des différents éléments (logiciels,  matériel humain ou informations) et des relations entre ces composants. Après trois ans et demi passés chez Microsoft, et plus de 14 ans chez Lotus affilié à IBM, il se lance dans le libéral. « Avoir un statut de SAS (NDLR : Société par Actions Simplifiées)  permet d’avoir un site internet sur lequel les clients peuvent payer en ligne, nous sommes reliés à un vrai compte bancaire. Nous avons des vrais contrats, et ceci c’est grâce à notre numéro Kbis. »

 

Arkaene : l’informatique juxtaposée à trois pôles artistiques

 

Mais, étonnamment, Arkaene n’a pas été inventé seulement pour servir ces activités. La maison-mère a immédiatement fait des petits.  « Pend’or RecordZ, Pend’or Prod et Pend’or Event sont trois filiales de la société qui proposent respectivement l’entregistrement des artistes, la production et l’évenementiel en France et à l’étranger. Cette structure artistique jouxte la partie informatique mais fonctionne de manière indépendante », présente Caroline Roque, la compagne de Didier, coprésidente et comptable de la société.

Pour cette ancienne assistante de direction, Arkaene était l’occasion rêvée pour faire de son autoentreprise son activité principale. 

 

Ah si j’étais riche…

 

Le ciment de cette entreprise unique en son genre ? L’amour évidemment. « C’est le bonheur le plus total de travailler ensemble, même si nous nous trouvons dans des bureaux séparés. On s’entend bien sur le plan personnel et professionnel. C’est juste un bonus », confie Caroline, coprésidente de la SAS. « Aujourd’hui, nous avons un rêve : devenir riche », agrémente Didier. Et pour y parvenir, le couple a plusieurs tours dans son sac. De son côté, madame planche sur un nouvel album d’Omega Masta, tandis que son homme, lui attend le gros contrat. Aujourd’hui, Arkaene fonctionne avec trois employés à temps plein, mais aimerait se développer et embaucher. « D’ailleurs, nous recherchons d’ores et déjà un community manager pour gérer nos réseaux sociaux. » Avis aux amateurs…

 

http://www.arkaene.com/