L’âge de la retraite s’éloigne. Le montant des pensions s’amenuise. Dans ce contexte incertain, l’investissement locatif se présente comme le moyen idéal d’obtenir facilement un complément régulier de revenu. La société Foncia Valorisation, spécialisée dans la vente d’immeubles, s’efforce de faire de cette possibilité une solution accessible au plus grand nombre. « Avec nos services, le prix des appartements d’un immeuble mis en vente reste bien en dessous du marché. La décote est de 10 à 15 % au minimum. Elle peut atteindre 20 à 25 % si le logement est occupé par un locataire âgé. Il s’agit donc d’excellentes affaires pour les acquéreurs », explique Fabrice Paget Domet, président de l’entreprise.
Les ventes à la découpe concernent généralement les immeubles de plus de 30 appartements. Actuellement, plus de 50 % d’entre eux sont achetés par des particuliers souhaitant profiter de revenus générés par la location. « Ils sont gagnants à tous les niveaux », reprend le président de Foncia Valorisation. « Prenons un investissement de 100 000 euros, financé par une dette bancaire qui s’étale sur 25 ans à un taux d’emprunt de 4,7 %. Avec un loyer mensuel de 400 euros et des mensualités de remboursement de 567 euros, l’effort à consentir ne sera finalement que de 167 euros par mois. Au bout de 25 ans, l’appartement vous appartient et apporte un revenu mensuel de 400 euros. Un montant qui peut servir de complément à la retraite. » En plus du loyer, qui finance une grande partie de l’emprunt, le locataire est souvent déjà sur place, dès l’acquisition de l’appartement, puisque seuls 10 à 15 % des logements sont vacants dans ce type d’immeubles. Fabrice Paget Domet ajoute que Foncia Valorisation propose un package global qui prend en compte l’ensemble du financement de l’opération, la gestion et l’assurance des appartements.
Autre avantage : les logements sont très bien entretenus, car les immeubles vendus à la découpe sont généralement détenus par des institutionnels, banques ou assurances. Les immeubles concernés par la vente à la découpe sont rares. Mais « grâce aux 550 agences immobilières du groupe Foncia, nous avons la chance de pouvoir nous appuyer sur un réseau très vaste. Les informations sur des immeubles mis en vente nous remontent donc très vite. Là où la plupart des acteurs de ce secteur proposent des logements en région parisienne, nous sommes en mesure d’exposer une offre variée qui s’étend sur environ 500 villes françaises », précise Fabrice Paget Domet. Dans le souci d’être le plus complet possible, Foncia Valorisation fournit de nombreux services associés. « Nous répondons présents à tous les niveaux. L’investisseur peut acheter dans n’importe quelle région. Nous traitons le financement dans son intégralité, nous gérons le logement localement grâce à nos cabinets d’administration de biens, nous proposons une garantie de loyer impayé afin de sécuriser les loyers. En cas de problème matériel, comme un dégât des eaux, tout est pris en charge », détaille le président.
Il s’agit véritablement « d’une réponse globale. Nous sommes les seuls à pouvoir offrir tant de garanties sur ce secteur ».Un travail de qualité en amont complète ces services. Le pôle « expertise » de Foncia Valorisation conduit une analyse précise de l’ensemble des portefeuilles et des prix de ventes immobilières dans les quartiers où se situent les immeubles concernés, afin de fournir les meilleurs prix. « Nous avons un responsable de programme pour chaque immeuble », souligne Fabrice Paget Domet. Foncia Valorisation est une filiale de Foncia Groupe, qui gère 1 million d’appartements en France, fournit ses services de gestion locative pour 250 000 logements et réalise 10 000 ventes par an. La croissance annuelle de l’entreprise est de 15 %. « Nous sommes un solide leader en France », résume Fabrice Paget Domet. Foncia voit désormais plus large. Son offre est déjà disponible sur les territoires suisse, allemand et belge. Dès septembre 2008, une ouverture d’agence est prévue à Londres. Mais le principal développement de Foncia concerne l’Allemagne. L’objectif est de déployer un réseau comparable à celui de l’Hexagone, avec une présence dans 200 à 300 villes d’ici quelques années.