Mutualiste et paritaire, le groupe Malakoff Médéric est le numéro 1 de la retraite complémentaire en France (20 % des entreprises françaises sont adhérentes au groupe) et un acteur majeur de la protection sociale, complémentaire santé, prévoyance et épargne. « Le groupe propose un panel de solutions répondant à l’ensemble des besoins des chefs d’entreprises, indique Olivier Sentis, directeur de l’épargne retraite et de l’épargne salariale du groupe Malakoff Médéric. Entretenir de bonnes relations sociales au sein de l’entreprise est primordial et coûte moins cher que des avantages salariaux fiscalement imposables ».
Le groupe Malakoff Médéric a regroupé ses solutions d’épargne salariale et d’épargne retraite (individuelle et collective). « L’épargne salariale peut aussi être une solution d’épargne retraite », selon Olivier Sentis. Alors que les marchés financiers subissent de plein fouet la crise économique globale, « les encours financiers en épargne salariale sous gestion ont atteint un sommet historique aujourd’hui en France », précise Erwann Deschamps, directeur général de Fédéris, entité du groupe Malakoff Médéric dédiée à l’épargne salariale (2 000 entreprises et 80 000 salariés couverts, 3 millions d’euros de chiffre d’affaires, 300 millions d’euros d’encours sous gestion).
Depuis 1995, les actifs de l’épargne salariale n’ont cessé de croître, passant de 19 milliards d’euros en 1995 à 88,6 milliards d’euros en 2010. Si 93,7 % des entreprises de plus de 500 salariés et 77,3 % des entreprises de 50 à 499 salariés disposent déjà d’une solution d’épargne salariale, les entreprises plus petites s’y intéressent également en raison des avantages fiscaux et sociaux qu’elle offre. En effet, pour 100 euros versés par l’employeur sur un plan d’épargne (PEE ou PERCO), le coût total pour celui-ci ne dépasse pas 108 euros et le montant touché par le salarié atteint 92 euros. Ainsi, les économies de charges sociales sont considérables, tant pour l’employeur que pour le salarié. À noter que, pour l’employé, ces sommes ne sont pas soumises à l’impôt sur le revenu et la plus-value générée n’est pas taxée.
L’employeur dispose de plusieurs moyens pour alimenter le PEE ou le PERCO : la participation, l’intéressement et l’abondement, qui lui permettent de majorer jusqu’à trois fois la somme versée annuellement par le salarié. De plus, le salarié peut procéder de lui-même à des versements supplémentaires : jusqu’à 25 % de son salaire annuel brut. Les sommes affectées sur un PERCO restent bloquées jusqu’au départ en retraite, hors cinq cas de déblocages anticipés (notamment l’achat de la résidence principale). Celles placées sur un PEE ne sont bloquées que cinq ans et bénéficient de dix cas de déblocage correspondant aux événements important de la vie (notamment l’achat de la résidence principale, la naissance d’un troisième enfant, le mariage ou le divorce).
« Sur les PEE, l’argent reste bloqué en moyenne 30 mois », constate Philippe Hugot, directeur commercial du groupe en charge des assurances et de l’épargne collective. En complément de ces dispositifs, les entreprises peuvent mettre en place des comptes épargne temps qui permettent de convertir en argent des jours de congés non pris et de transférer jusqu’à dix jours par an sur le PERCO (5 jours en cas d’absence de compte épargne temps) tout en bénéficiant d’une franchise d’impôts et de charges sociales.
« Grâce à ses spécialistes dans l’ensemble des solutions d’épargne existant sur le marché, Fédéris dispose d’un atout majeur pour accompagner les entreprises », remarque Erwann Deschamps, qui insiste sur la possibilité pour les clients entreprises de disposer d’un interlocuteur unique pour l’ensemble des solutions à leur disposition. Face aux incertitudes multiples de la vie, disposer d’une solution d’épargne, qu’elle soit destinée à financer sa retraite, à investir ou à faire face aux « coups durs » de la vie, répond à un besoin essentiel des individus. Le groupe a ainsi bien trouvé son leitmotiv : « Aider les individus à bien vieillir ».