Alma France n’est pas un promoteur immobilier comme il en existe tant dans l’Hexagone. Au contraire de certains autres opérateurs, la société bordelaise construit son développement sur la base de réalisations visant le haut de gamme et situées sur des terrains d’exception. « Lorsque nous avons lancé Alma France en 1991, nous avions dans l’idée de créer des produits qui répondent à la demande du marché. Nous avons ainsi cherché à satisfaire l’aspiration de toute une frange de la population qui désire investir dans une résidence secondaire de standing », explique Alban Maurial, président fondateur de l’entreprise spécialisée dans l’immobilier de loisir. Un positionnement qui se traduit dans la qualité des créations de la société que l’on retrouve tant en termes de réalisation que de prestations de services. Les produits d’Alma France sont d’abord spacieux, d’un niveau de finition très élevé et correspondent à des exigences architecturales sévères. Son produit type est une maison d’une surface de 100 à 200 m2, bien insérée dans son environnement, bâtie sur un terrain de 800 m2 minimum avec piscine privative et jardin paysager.
Les services qui y sont associés sont particulièrement poussés, de façon à libérer les utilisateurs des préoccupations les plus futiles. « Nos produits offrent des prestations comparables à celles d’un hôtel. Nous allons, par exemple, jusqu’à servir les viennoiseries à domicile ou prévoir un parc de vélos adapté aux besoins de nos clients », assure ainsi Alban Maurial. Une idée du service que peut résumer à merveille le slogan de sa société de gestion locative Estivel : « L’esprit hôtel ». En quinze ans d’existence, Alma France a ainsi construit environ 2 000 lits. Essentiellement dans le sud-ouest de la France. La société est, par exemple, le principal aménageur de la station de Lacanau où, par le passé, elle a déjà réalisé pas moins de 400 maisons et 8 programmes. Mais elle est aussi intervenue à Arcachon et dans le Tarn, où elle achève la commercialisation de Royal Green, une résidence en lisière de golf. Aujourd’hui, elle travaille sur divers autres sites en cours de réalisation ou à l’état de projet. C’est ainsi qu’elle a récemment lancé trois importants chantiers à Soulac-sur-Mer, sur la presqu’île du Médoc, dont un est prévu en bordure d’un golf qu’elle va elle-même créer pour le compte des autorités locales, et un autre encore autour d’un futur centre de thalassothérapie. Alma France commence également la commercialisation d’une belle résidence hôtelière à Arcachon et d’une petite résidence sur Capbreton dans les Landes. Elle se lance dans deux projets périgourdins d’envergure, l’un au Bugue, l’autre à Périgueux. Tous ces produits sont principalement proposés à des ressortissants français, mais également européens, aussi désireux les uns que les autres d’acquérir des biens immobiliers haut de gamme et de réaliser des opérations patrimoniales intéressantes dans le cadre d’investissements immobiliers locatifs.
Les réalisations de Alma France entrent, en effet, dans le champ d’application des dispositifs fiscaux applicables aux loueurs en meublés professionnels (LMP) ou non-professionnels (LMNP), selon que les investisseurs perçoivent plus ou moins de 23 000 euros de loyers issus de logements loués meublés. Mais, attention : « Notre offre ne repose pas sur la seule existence d’un dispositif fiscal avantageux, prévient Alban Maurial. Nous concevons d’abord des produits à forte valeur patrimoniale. Le dispositif fiscal, associé au projet, permet à nos clients d’accéder plus facilement à un niveau de prestations particulièrement étudié. » Alma France a conçu une offre de fonctionnement originale fondée sur le choix entre deux formules de bail. Un bail réel, au terme duquel la société s’engage à partager à parts égales avec le propriétaire les loyers issus de la location de son bien. « Avec la part qui nous revient, nous rétribuons le réseau de tour-operators en charge de la commercialisation de nos résidences et nous assumons les dépenses nécessaires à l’entretien du bien », explique Alban Maurial. L’autre option, le bail avec garantie permet à l’investisseur de compter sur un revenu fixe correspondant à 13 semaines de loyer. « Si nous parvenons à louer davantage son bien, nous conservons le différentiel de loyer », précise Alban Maurial. En revanche, dans un cas comme dans l’autre, les propriétaires ont la possibilité d’occuper eux-mêmes leur logement six semaines par an en bénéficiant d’une réduction de loyer de 70 % et de bénéficier de prestations personnalisées sur le site.